Schubert au piano livrant la richesse inépuisable de ses airs de danse, des amis dansant et plaisantant autour de lui – cette image fait partie des clichés circulant couramment dès lors qu’il s’agit de ce compositeur. Le terme de «Schubertiades» inventé pour l’illustrer est devenu une expression consacrée. Ce volume contient plus de 200 danses, menuets, valses (parmi lesquelles les célèbres 34 Valses sentimentales op. 50 et les 12 Valses nobles op. 77), ländler, écossaises ou allemandes – des pièces toutes plus belles les unes que les autres et datant des années 1816 à 1826. En annexe sont reproduites 32 danses supplémentaires dont seule la mélodie est parvenue à la postérité ou qui avaient été pensées initialement pour d’autres formations instrumentales (vol. I, voir HN 74).